Avez-vous déjà pensé à toute cette chaleur qui part dans les canalisations à chaque douche ?
À chaque minute, de l’énergie est produite, puis tout simplement évacuée. Et pourtant… cette source de chaleur peut devenir une solution efficace pour économiser, chauffer l’eau et améliorer votre confort thermique, sans gros travaux ni système compliqué.Aujourd’hui, on parle beaucoup de cheminée, de poêle à bois, de ventilation, de répartition d’air chaud, mais le vrai potentiel, dans une maison, se cache souvent dans la salle de bain.
Grâce à un dispositif simple, discret, et durable, il est désormais possible de récupérer la chaleur produite par les eaux usées pour la réinjecter directement dans votre système d’eau chaude.
Chez Gaïa Green, on installe des récupérateurs de chaleur des eaux grises depuis des années. Et ce qu’on constate, c’est que le bon emplacement, c’est la moitié du rendement. Mal placé, même le meilleur équipement perd en efficacité énergétique. Bien pensé, un système bien installé vous offre de réelles économies… jour après jour.
Dans cet article, on vous explique où et comment le positionner pour tirer le meilleur parti de votre investissement. Que vous soyez en rénovation, en construction ou simplement curieux, c’est ici que tout commence.
Vous cherchez à économiser l’énergie chez vous ? Commencez par regarder du côté de votre douche. Chaque jour, vous jetez sans le savoir une source de chaleur précieuse. On l’appelle la chaleur des eaux grises, et elle est bien plus facile à valoriser que celle de l’air chaud, souvent instable ou trop dispersé.
En choisissant un système de récupération adapté à votre maison, vous misez sur une solution fiable, durable et performante. Pas besoin de caisson, de soufflage ou de ventilation complexe. Un récupérateur d’eau grise fonctionne de manière simple, sans nuire à l’esthétique ni au confort de votre salle de bain.
Prenons un exemple concret. Une douche de 8 minutes à 37°C rejette en moyenne 5 kWh d’énergie. C’est l’équivalent de ce que consomme un radiateur électrique pendant 5 heures. Multipliez ça par le nombre d’habitants… et par 365 jours.
Cette énergie perdue, c’est ce qu’un récupérateur bien placé peut transformer en économie réelle sur votre chauffe-eau. Et le meilleur, c’est que cela fonctionne automatiquement, sans action de votre part.
L’eau, contrairement à l’air, transporte beaucoup plus d’énergie. Elle garde mieux la température. Elle circule dans un conduit fermé, ce qui facilite son récupération. Pas besoin de ventilateur, ni de gestion de débit d’air vicié.
Avec l’air chaud, les pertes sont fréquentes. Il faut des réseaux de gaines, des isolations précises, et le moindre courant d’air peut faire chuter le rendement. À l’inverse, un système sur eaux grises est plus stable, plus constant, et plus simple à installer.
Les répartiteurs d’air ou VMC double flux demandent souvent des travaux lourds. Ils nécessitent des bouches, des caissons, et parfois des modifications de vos combles ou de votre plafond. Ils prennent de la place, font du bruit, et doivent être entretenus régulièrement.
En plus, ces systèmes déplacent de l’air, mais ne produisent pas directement d’eau chaude. Ils sont utiles, mais moins rentables si votre priorité est de réduire la consommation de votre chauffe-eau. C’est là que les eaux grises ont un vrai avantage : elles produisent de l’énergie réutilisable, là où vous en avez le plus besoin.
Tous les logements ne se ressemblent pas. C’est pour ça qu’il existe plusieurs types de récupérateurs adaptés aux eaux grises. Leur rôle est le même : réutiliser l’énergie contenue dans l’eau chaude évacuée. Mais leur forme et leur mode d’installation changent selon la configuration de votre maison.
Un modèle vertical s’installe directement sous la douche. Il utilise la gravité pour faire circuler l’eau et récupérer l’énergie. Il est idéal dans une maison avec étage ou vide sanitaire.
Un modèle horizontal se pose sous le bac de douche. Il est parfait pour les douches de plain-pied ou les salles de bain sans hauteur sous plancher.
Les modèles intégrés, comme le Showersave® Blue, sont directement liés au siphon. Ils prennent très peu de place et s’intègrent parfaitement dans des projets neufs ou rénovés.
Pour une douche à l’italienne, optez pour un modèle horizontal ou intégré. Il se glisse sous le carrelage et reste totalement invisible.
Pour une douche classique avec bac surélevé, le modèle vertical est souvent le plus simple à mettre en œuvre. Il permet un excellent rendement, surtout s’il est bien positionné.
Un récupérateur pour eaux grises est invisible une fois installé. Il ne nécessite ni gaines ni ventilateurs. Pas de bruit, pas de bouches au mur, pas de modification de l’espace intérieur.
À l’inverse, un système aéraulique impose souvent des tranchées dans les murs, des plafonds modifiés, et parfois même un caisson bruyant dans les combles. Le système pour douche s’oublie... mais continue de faire économiser.
Le bon emplacement, c’est celui qui limite les pertes et maximise la transmission d’énergie. Le secret, c’est la proximité. Plus l’appareil est près du point de puisage, plus il sera efficace.
Le mieux, c’est sous la douche, directement sous l’évacuation. C’est là que l’eau est encore chaude. En cas d’impossibilité, un local technique ou une cave peuvent convenir, à condition de respecter une certaine distance.
L’idéal est de ne pas dépasser 2 mètres. Plus le trajet de l’eau est long, plus elle perd de sa température. Un circuit court, c’est plus de rendement et donc plus d’économies.
Oui, dans la plupart des cas. Un modèle intégré ou horizontal permet une installation rapide et discrète. Il suffit d’un accès aux évacuations existantes. Pas besoin de refaire toute la salle de bain ni de casser le mur porteur. Et ça, c’est un vrai avantage.
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Que vous construisiez ou rénoviez, l’installation d’un système de récupération sur eaux grises est simple à prévoir. L’essentiel est de penser à l’emplacement dès que vous touchez à la salle de bain.
L’appareil prend peu de place, se raccorde facilement à la plomberie existante, et peut être intégré sans changer l’apparence de la pièce.
Il faut une évacuation d’eau accessible (généralement en PVC), une arrivée d’eau froide, et un accès au circuit d’eau chaude. Le tuyau doit avoir un diamètre suffisant pour assurer un bon débit.
Aucune alimentation électrique n’est nécessaire pour les modèles passifs comme ceux proposés par Gaïa Green.
Le meilleur moment, c’est dès la conception des plans. Vous pouvez alors prévoir l’espace, le raccordement, et même le type de douche à poser. Cela évite toute modification future et garantit une installation optimisée.
En rénovation, il suffit que les canalisations soient accessibles. Le système peut se greffer à un point de puisage existant sans tout casser.
Un modèle horizontal est parfait si vous avez une douche de plain-pied, tandis qu’un modèle vertical fonctionne bien sous un bac surélevé.
La pose peut sembler simple, mais pour garantir sécurité et performance, mieux vaut passer par un professionnel.
Certains bricoleurs expérimentés peuvent l’installer seuls, surtout en neuf. Mais en rénovation, il est plus prudent de faire appel à un plombier ou à un installateur spécialisé. Cela évite les erreurs de raccordement ou les pertes de rendement.
Le plombier conseille, positionne et raccorde le système dans les règles de l’art. Il sait où placer l’appareil pour garantir un bon débit, une évacuation fluide et une intégration propre au réseau existant.
Oui. Vérifiez que le professionnel est RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). C’est souvent nécessaire pour obtenir des aides financières. Vous pouvez aussi demander une garantie décennale pour être couvert en cas de problème.
Installer un récupérateur de chaleur sur eaux grises, c’est un investissement intelligent. Il est vite rentabilisé grâce aux économies d’énergie réalisées au quotidien. De plus, des aides financières existent pour alléger la facture.
En moyenne, un modèle vertical ou horizontal coûte entre 600 et 900 euros, hors pose. Le prix dépend du type, de la marque et de la complexité de l’installation.
La main-d'œuvre varie selon les configurations, mais reste raisonnable, surtout si l'installation est prévue dès le début.
Vous pouvez économiser jusqu’à 60 % de l’énergie utilisée pour chauffer l’eau de la douche. Cela représente plusieurs centaines d’euros par an pour une famille de 4 personnes.
Sur le long terme, le système peut s’amortir en moins de 5 ans, tout en réduisant votre empreinte carbone.
Certaines régions ou collectivités proposent des aides spécifiques. Le système peut aussi entrer dans des projets éligibles aux CEE (Certificats d’Économies d’Énergie).
N’hésitez pas à vous renseigner auprès d’un artisan RGE, ou à consulter les plateformes officielles comme France Rénov’.
Chez Gaïa Green, on ne propose pas un simple produit. On propose une solution fiable, testée et pensée pour durer. Nos systèmes sont conçus pour réduire l’impact énergétique des logements, sans compromis sur le confort.
Les systèmes Showersave® et ReQup® offrent un rendement élevé, jusqu’à 65 % de récupération d’énergie sur l’eau de douche.
Ils sont certifiés, performants, et utilisés en maison individuelle comme en habitat collectif. Le tout sans consommation électrique.
Nos équipements sont fabriqués en matériaux durables, souvent inoxydables, et testés dans des conditions réelles. Ils ne nécessitent qu’un entretien minimal, sans pièce d’usure.
En moyenne, leur durée de vie dépasse 20 ans. Un vrai choix fiable et rentable dans le temps.
Nous ne faisons pas que vendre. Nous accompagnons chaque client, du conseil technique à la mise en œuvre, en passant par l’optimisation de l’emplacement.
Avec Gaïa Green, vous bénéficiez d’un partenaire de confiance, qui connaît parfaitement les enjeux techniques et les réalités du terrain.
Parlons de votre projet
L’idéal est de le positionner au plus près de la douche, directement sous l’évacuation. Cela permet de limiter les pertes de température et de maximiser l’efficacité du système.
En rénovation, on peut aussi l’installer en vide sanitaire ou en local technique, selon l’accès aux canalisations.
Les bouches doivent être placées en hauteur, dans les zones de vie, pour que l’air chaud circule naturellement vers le bas.
Évitez de les mettre derrière des meubles ou rideaux. Chaque pièce doit avoir une diffusion homogène, sans courant d’air direct.
On peut utiliser des gaines isolées, un ventilateur de transfert, ou un système de répartition d’air.
L’essentiel est de créer un chemin fluide entre les pièces, souvent via les combles ou les plafonds. Cela permet d’optimiser le confort thermique, surtout en hiver.
Elle doit être installée à l’extérieur, dans un endroit aéré, à l’abri du vent et des fortes chaleurs.
Évitez les zones proches des chambres à cause du bruit. L’unité doit aussi rester accessible pour l’entretien et bien dégagée pour une bonne circulation de l’air.
Réduisez vos dépenses et optimisez votre confort avec un dispositif innovant.